mercredi 23 septembre 2009

El Gabo nos explica que es esto sitio

La vida no es la que uno vivió, sino la que uno recuerda y cómo la recuerda para contarla.

Gabriel Garcia Marquez

vendredi 18 septembre 2009

"Sono un Farabutto" so what???

Cuidadito, cuidadito Sr. Berlusconi. No ande diciendo patanadas que aquí en Grenoble le volamos riata a usted y a sus comentarios tan poco acertados.

¡Compay Marco al frente en las barricadas!

¡Desde aquí le dejamos ir la piedra!
_____
Let's say in some general words that the celebrate italian president (not precisely by his politique achievements) has been trying, yet for some months, to hide himself and his political imprecitions behind what seems just some childish excuses. The photo takes place in a
public-opinion pronouncement against what Silvio Berlusconi calls "Farabutti" or tricksters: Italian citizens which media prefferences are oposite to Berlusconi's "media empire". (Good luck with the italian version of the Republicca article Dernière nouvauté: version en francais au fond du post fait pour Marco)

Just for instance he owns the principal italian editorial house (books and newspapers), 3 of 7 italian TV-chains, Medusa Films (one of the biggest movie makers in Italy) and the list could easily go on.


Après 45 minutes de discussion sur le tremblement de terre à l'Aquila et sur les projets de
reconstruction (« En décembre au plus tard tous les déplacés auront un toit et cela sans ajouter
aucun impôt car nous placerons 30 milliard d'euros »), Silvio Berlusconi a ouvert le feu sur la
liberté de la presse [d'opinion]: « Nous sommes entourés par des personnes malhonnêtes dans la
télé, la presse et la politique. La Rai [la télé publique italienne, trois chaînes] est la seul réseau de
télévision publique qui parle mal du gouvernement grâce à l'argent des assujettis ».
Et ensuite un coup à La Repubblica: « C'est un journal conduit par un éditeur suisse, avec un
directeur qui déclare ne pas payer les impôts ». Vespa [le présentateur de Porta a Porta, une
émission d'enquête, qui a l'habitude de soutenir les gouvernements conservateurs] essaye de
l'interrompre: « Mauro [le directeur de La Repubblica] dit que ce n'est pas vrai. », mais Berlusconi
insiste: « Vous avez un grand sens de l'humeur, mais c'est un délit ce parler d'attentat à la liberté de
la presse [http://temi.repubblica.it/repubblicaspeciale-repubblicaspeciale-ten-new-questions-tosilvio-
berlusconi/2009/08/28/appeal-by-three-jurists/]. Poser plainte contre ce journal était la
moindre chose que je pouvais faire ».
Berlusconi recommence donc à s'encenser: « Mon exécutif est meilleur de celui de De Gasperi [le
premier chef du Gouvernement élu dans l'Italie républicaine d'après-guerre;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Alcide_De_Gasperi] », dit-il sûr: « Il fut le père de la patrie, mais mon
exécutif est meilleur ». Et quand il parle de l'opposition, Berlusconi ne perd pas l'habitude de la
définir de « communiste ». Même Vespa essaie de le contredire timidement (« N'existent plus les
communistes. Ils s'appellent Parti Démocrate ») mais le Président insiste: « Ils sont et seront
toujours des vieux communistes. D'Alema [un des responsable du parti de gauche] est un vieux
communiste nostalgique qui resta là en faisant le communiste. Ses attaques aux gouvernement sont
l'expression d'un stalinien pur. Il faut un changement de génération. »
Et quand Vespa remarque qu'il est paradoxal qu'il soit bien lui, Berlusconi, qui a 73 ans, celui qui
invoque le changement de génération, le président répond gêné: « Je suis le plus jeune: ce n'est pas
l'âge qui fait l'innovation. C'est le cerveau, mon cher docteur ».

dimanche 13 septembre 2009

Impossible! (À propos de Manu Chao à Grenoble)


On peut dire que d'un côté, dans "l'éventail" infini de la musique ("pallette musicale" pour ne s'eloigner pas trop de l'imaginaire lingüistique français) il ya les chanteurs, les artistes, les musiciens...et loin, jusqu'au bout de l'autre côté il y a Manu Chao...

Et on peut dire aussi, qu'il y a certains êtres humains desintés à souffrir la cruauté du destin, surtout quand celui-ci se présent complètement imcomprensible et il semble être simplement une sorte de force d'intervention distante et puissante qu'on peut pas défier, comprendre, questioner et même pas changer.

Merde!.
À la prochaine, monsieur de la "Mano Negra".

vendredi 11 septembre 2009

un vendredi grenoblois

Compay Alejandro rentre et s'immerge dans la langue française, Compay Marco se met un peu au travail, Companera Cornelia se relaxe dans son Allemagne, et Grenoble recommence à bouillonner, avec ses milliers de voitures et sa jeunesse qui chante, crie et fait ses achats...


Châpitre II



Le retour du compay.
Après deux juste deux mois au Salvador, Alejandro est de retour.
On commence à nouveau l'histoire de cette collocation.